Le réseau : pourquoi et comment ça marche ?

« Les synergies, deals, échanges de bonnes pratiques, troc de compétences… Autant de collaborations enrichissantes qui naissent dans les couloirs d’une pépinière par la voie du réseau.

Un centre névralgique et un bouillonnement souvent situé à proximité de la machine à café de la pépinière … et qui fonctionne grâce à l’énergie que nous insufflons quotidiennement et sans relâche grâce aux animations, ateliers, workshop, organisés régulièrement au sein de l’écosystème.

Les exemples ne manquent pas. L’entrepreneur, Christophe Wellele pour Menupratik a développé un outil de digitalisation et s’est rapproché d’autres startuppers positionnés sur des services et des activités proches. Avec un intérêt évident : la mutualisation des portefeuilles clients et d’un catalogue d’offres complémentaires à leurs prospects.

Autre initiative porteuse, celle de Vincent Kieffer de BOOKmyHELO qui s’associe entre autres avec KeeeX pour stimuler l’écosystème sur la mobilité du futur et organiser en mars prochain #UAMES19 le premier sommet européen de mobilité aérienne à Marseille regroupant des experts et acteurs de tous bords dans ce domaine. Pour faire croitre son CA, le réseau est également bénéfique.

CocoRibou, start-up spécialisée dans le motion design réalise cette année 30% de son chiffre d’affaire annuel avec les productions réalisée pour des entreprises situés dans l’environnement de Marseille Innovation.

D’autres encore saisissent l’opportunité d’être en pépinière pour lancer en béta test leur plateforme ou leur service au sein d’une communauté réactive et attentive. Il n’est pas rare non plus d’entendre des codeurs échanger sur leurs astuces de programmation… Discuter, échanger, partager, conseiller… le réseau est un atout à ne pas négliger ».

Nadine Bugnazet, Responsable de site sur le Pôle Média Belle de Mai, également en charge du dispositif ARDAN .

Nadine Bugnazet - Responsable de la pépinière Pôle Medai Belle de Mai

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